Notes de lecture InFolio - G de l'ABC
Une canne à pêche pour mon grand père - Xingjian GAO
C'est un recueil de 6 nouvelles d'un auteur chinois. Ces nouvelles retracent des instants de vie heureux ou douloureux, la recherche du passé ou le présent.
Parfois la nouvelle est construite comme une histoire linéaire.
Parfois, déconstruite pour entremèler plusieurs événements, plusieurs mini-récits.
Parfois, comme dans le cas de la nouvelle qui a donné son nom au recueil, l'auteur s'ingénue à construire des phrases très longues qui se poursuivent, parfois sur une page entière, enchainant les idées, encore et encore, au point qu'on en perd parfois le fil et ne sais même plus comment a commencé la-dite phrase.
L'écriture est très épurée.
"[...] elle n'était pas de mon avis et affirmait que plus une natte était vieille meilleure elle était, c'était vrai pour ma grand-mère, plus elle vieillissait plus elle était gentille et plus elle parlait, répétant sans cesse la même chose, c'était le contraire pour mon grand-père qui parlait de moins en moins plus il vieillissait mais il devenait de plus en plus maigre, semblable à une ombre qui avançait sans bruit [...]"
C'est un recueil de 6 nouvelles d'un auteur chinois. Ces nouvelles retracent des instants de vie heureux ou douloureux, la recherche du passé ou le présent.
Parfois la nouvelle est construite comme une histoire linéaire.
Parfois, déconstruite pour entremèler plusieurs événements, plusieurs mini-récits.
Parfois, comme dans le cas de la nouvelle qui a donné son nom au recueil, l'auteur s'ingénue à construire des phrases très longues qui se poursuivent, parfois sur une page entière, enchainant les idées, encore et encore, au point qu'on en perd parfois le fil et ne sais même plus comment a commencé la-dite phrase.
L'écriture est très épurée.
"[...] elle n'était pas de mon avis et affirmait que plus une natte était vieille meilleure elle était, c'était vrai pour ma grand-mère, plus elle vieillissait plus elle était gentille et plus elle parlait, répétant sans cesse la même chose, c'était le contraire pour mon grand-père qui parlait de moins en moins plus il vieillissait mais il devenait de plus en plus maigre, semblable à une ombre qui avançait sans bruit [...]"